« L’ASSOCIATION ANNE-MARIE NIHOUL » vous souhaite un été 2023 tout en vitalité !

En bref et au sommaire : 👀

Rejoignez-nous sous le soleil lors de notre prochain événement le 6 août à Ramillies.

La lutte contre le cancer: tous les espoirs sont-ils permis ? Réponse d’un scientifique

Nos bénéficiaires sont à l’affût de bonnes nouvelles et se réjouissent des découvertes de la recherche scientifique dans la lutte contre leur maladie. Est-il permis d’espérer que chaque découverte améliore leurs traitements et augmentent leurs chances de guérison ?

Nous avons interrogé l’un de ces scientifiques, Pierre BEAUJEAN, également membre de notre association, afin de mieux comprendre l’écart existant entre une découverte scientifique et son application dans un traitement médical.

Il a accepté de partager ci-après sa réponse à la question si cruciale pour nos bénéficiaires !

Comment comprendre la recherche contre le cancer ?

La diffusion au journal télévisé de la RTBF d’une découverte sur l’effet positif des oméga-3 dans la lutte contre le cancer a réjoui d’aucuns et nourrit l’espoir de venir à bout de cette maladie. Certes, chaque découverte relative au cancer est un pas en avant dans la lutte qui lui est menée. Si la route peut être encore longue entre une découverte scientifique et son application dans un traitement médical, il importe de garder confiance.

Chaque nouvelle découverte dans la lutte contre le cancer est une avancée certaine dont l’aboutissement est de la surmonter. Pour chacun d’entre nous, elle nous aide à mieux nous armer afin de diminuer son impact. Bien comprendre le cancer et la recherche scientifique pour en venir à bout, voilà ce qui a inspiré cette communication dont la portée est d’aider à mieux en comprendre la complexité et l’importance.

Notre corps : des milliards de cellules qui travaillent main dans la main.

Notre corps est constitué de milliards de cellules. Et pour comprendre la recherche contre le cancer, il faut bien se rappeler qu’une cellule est assimilable à un être vivant en miniature: elle mange, discute, se reproduit et meurt. Dans l’intervalle, elle effectue les fonctions spécifiques pour lesquelles elle a été programmée. Elle les exécute selon son utilité et son emplacement dans le corps. Par exemple, les cellules du foie permettent de stocker le sucre et de le libérer au besoin, les cellules des reins filtrent le sang, etc.

Cette fonction est inscrite dans son ADN ; celui-ci est comme une très longue pelote de laine qu’on peut se représenter sous la forme d’un long ruban. Y sont mémorisées les instructions pour construire les différents constituants de la cellule.

Pour ce faire, une cellule consomme du sucre qu’il faut bien comprendre au sens large du terme : sucres rapides comme sucres lents sont tous métabolisés en glucose qui peuvent alors être utilisés par la cellule pour effectuer ses fonctions.

Parmi les actions qui demandent beaucoup d’énergie et donc beaucoup de sucre, c’est la division cellulaire. Ce procédé de reproduction d’une cellule est l’un des plus coûteux en énergie. Cela explique que les cellules ne se divisent pas spontanément mais petit à petit, et jamais plus que nécessaire. Cela s’observe, par exemple, lors du processus de cicatrisation ; celui-ci prend plusieurs jours voire semaines. Une des étapes de cette division cellulaire est de réaliser une copie (normalement parfaite) de l’ADN pour la distribuer entre les deux cellules filles qui résultent de la division de la cellule mère.

Le cancer : l’immortalité des cellules devenue le problème à traiter!

Il peut arriver qu’une cellule soit endommagée et ne puisse plus fonctionner convenablement. Ici, c’est plus précisément les erreurs au niveau de l’ADN qui sont importantes. C’est quelque chose de tout à fait commun. Cela peut être dû autant à des attaques du monde extérieur qu’à d’autres phénomènes physiologiques. Par exemple, des erreurs peuvent apparaître au cours de la division cellulaire, comme dans de tout processus de copie.

Heureusement, lorsque cela survient, des mécanismes de sécurité obligent alors la cellule à se suicider : c’est qui est appelé le processus d’apoptose. Ainsi, les cellules communiquent entre elles et les cellules avoisinantes peuvent également forcer l’une de leurs collègues déficiente à réaliser ce processus d’apoptose. Le système immunitaire peut également forcer l’apoptose par différents mécanismes. Citons, par exemple, l’endommagement de la cellule cible.

Un cancer survient lorsqu’une cellule n’est plus capable de se suicider. Devenue cancéreuse, elle se divisent à l’infini et les cellules ainsi apparues deviennent en quelque sorte « immortelles ».

Cela peut se produire pour différentes raisons : soit le mécanisme d’apoptose est grippé, soit la cellule incriminée est sourde aux appels de ses voisines. Généralement, ces problèmes surviennent parce que l’ADN de la cellule contient une ou plusieurs erreurs. Mais si cette cellule peut toujours se diviser, elle va générer d’autres cellules contenant également les mêmes erreurs : on a donc une masse de cellules qui n’écoutent plus leurs voisines. Elles se développent dès lors de manière anarchique : c’est alors l’apparition d’une tumeur.

La présence de cette tumeur engendre un certain nombre de problèmes au fonctionnement de l’organisme humain. En premier lieu, bien qu’il s’agisse très clairement d’une nuisance pour le corps, le système immunitaire ne considère pas la tumeur comme une menace. Deuxièmement, cette masse de cellules a besoin d’énormément de sucre pour se développer : elles « détournent » à leur profit les différents nutriments nécessaires à l’organisme, ayant pour conséquence son affaiblissement. De plus, le fait que cette masse de cellules anarchiques ne permet pas une bonne diffusion de ces nutriments au travers de la tumeur, les cellules en profondeur se retrouvent en état de stress appelé plus communément un « état inflammatoire ». Par exemple, l’absence de sucre dans l’environnement de la cellule provoque une acidification du milieu, et la plonge dans un état dit « d’acidose ». Or, un processus d’inflammation répété génère d’autres dégâts à divers degrés, rendant les cellules d’autant plus anarchiques un peu partout dans la tumeur.

Ainsi donc, lorsque nous nous trouvons en présence d’une masse de cellules dites cancéreuses, cela peut poser plusieurs problèmes. Citons, entre autres, un affaiblissement des autres organes en raison du détournement des nutriments par la tumeur, ou encore, dans des cas extrêmes, le dysfonctionnement de ces organes ainsi affaiblis. La masse tumorale peut également gêner le fonctionnement de l’organe qui l’a vu naître en bloquant les vaisseaux sanguins et d’autres conduits. Finalement, ces cellules vont s’implanter dans d’autres parties de l’organisme ; il s’agit de métastases. Leur présence dans l’organisme représente une complication pour celui-ci puisqu’elles amplifient ces deux phénomènes cités ci-avant et auquel il est confronté.

Comment lutter contre le cancer ?

Pour lutter contre le cancer et le guérir, le but à poursuivre est essentiellement de tuer toutes les cellules cancéreuses. En effet, pour qu’il en résulte une guérison et que les traitements soient un succès, il est primordial que toutes les cellules cancéreuses soient éliminées, sans cela, il ne s’agira que d’un sursis. Ceci explique que ces traitements sont généralement très agressifs afin de s’assurer de leur efficacité.

Contrairement de ce qu’il en est pour d’autres maladies, la difficulté pour l’organisme est que, à priori, il ne peut pas compter sur l’action du système immunitaire puisque la tumeur n’est pas considérée comme un corps étranger.

Une autre difficulté, et non la moindre, est que chaque cancer est, à priori, unique. L’ADN étant une très longue chaîne d’informations, chaque dommage occasionné à celle-ci peut potentiellement générer une cellule cancéreuse. A présent, nous commençons à comprendre que certains dommages sont plus prompts à générer des cancers que d’autres. Cependant, il n’existe pas un cancer mais plein de cancers différents et chacun est unique, cela en fonction des erreurs qui ont conduit à son apparition.

Tout ceci aide à comprendre la difficulté et la complexité de la recherche scientifique dans la lutte contre le cancer. Pour trouver le traitement adéquat à chaque malade, il est nécessaire de réaliser une biopsie c’est-à-dire de prélever une partie de la tumeur aux fins de l’analyser et d’en retirer les renseignements indispensables et individualisés.

De nos jours, les traitements possibles sont multiples. Il peut être choisi, par exemple, l’éradication de la tumeur en utilisant des rayons (la radiothérapie), ou encore son extraction de manière chirurgicale, et aussi l’utilisation de médicaments plus ou moins agressifs (la chimiothérapie). Plus récemment, il peut être proposé ; l’utilisation d’anticorps capables de reconnaître les cellules cancéreuses permet d’enfin activer le système immunitaire du malade (l’immunothérapie) . Ce traitement a fait ses preuves . Aucun de ces traitements n’étant 100 % efficace à eux seuls, ils sont généralement combinés.

Nous ne le rappelons jamais assez : la prévention est notre meilleur cheval de bataille. La réussite de tout traitement est assurément liée au dépistage précoce du cancer. Plus tôt le cancer est dépisté de manière précoce, plus tôt les chances de réussite des traitements sont grandes. À ce sujet, la recherche fait des bonds en avant, puisque cet article récent de la RTBF rapporte que la détection des cancers et leur récidive via une simple prise de sang est en phase de test.

Et la recherche contre le cancer : les espoirs sont-ils fondés ?

Malgré des moyens qui ne sont pas forcément toujours à la hauteur, les chercheurs rivalisent d’ingéniosité pour trouver des traitements toujours plus efficaces. Les médias s’en font régulièrement l’écho, la médecine progresse résolument. Comme le rappelle la RTBF début 2023, la recherche a déjà permis de sauver 185 000 vies. Par exemple, récemment, une équipe de l’université de Louvain a souligné l’importance des oméga-3 chez l’être humain ; ils seraient toxiques pour les cellules cancéreuses (le lien est ici). Cette caractéristique s’ajoute à la liste déjà longue des bienfaits de ces acides gras (une liste est disponible ici). Or ceux-ci, obtenus, comme, par exemple, en consommant des poissons gras, ne sont pas suffisamment intégrés dans notre alimentation.

Toutes ces découvertes scientifiques ouvrent des perspectives vers de meilleurs traitements et doivent susciter l’espoir chez chacun d’entre nous confrontés au cancer ou craignant un jour devoir vivre cette maladie.

D’aucuns s’étonnent et se désolent de constater que ces traitements, annoncés dans les médias, ne sont pas proposés immédiatement aux patients.

A toute personne qui se pose cette question à son sujet, rappelons, tout d’abord, que son oncologue est la personne de référence et c’est à lui qu’il convient de s’adresser quant au traitement le plus approprié. A cette question, qui lui serait posée, l’oncologue peut répondre que, tout simplement, tel ou tel traitement est en réalité déjà administré. Il est vrai que, pour le profane en présence d’une liste de médicaments, il est souvent difficile de bien comprendre ce qu’est le traitement pratiqué. L’absence d’un traitement particulier peut également s’expliquer parce qu’il n’est pas adapté pour le cancer traité ; chaque cancer est effectivement unique. Ou, il peut y avoir une incompatibilité médicale (allergies, comorbidités, etc) chez le patient qui lui pose la question.

Une autre raison est parfois que le traitement n’est pas encore disponible. En effet, et comme l’a rappelé la crise du COVID, la découverte d’un traitement en laboratoire n’est pas immédiatement suivie de son administration au malade.

Chacun sait que les recherches ne sont jamais directement effectuées sur l’être humain. Préalablement, un protocole rigoureux doit être établi et suivi pour passer des modèles expérimentaux employés en laboratoire à l’être humain. Ils sont généralement entrepris avec des cellules isolées. Lorsque le projet est plus avancé, il est expérimenté sur des souris afin de s’assurer de la réelle efficacité du traitement découvert ; enfin, il reste à déterminer la dose à utiliser et de s’assurer de l’absence d’effets secondaires.

Il est également possible qu’un traitement qui s’avère prometteur ne passe pas ces tests. Dès lors, il sera abandonné définitivement.

Tout ce processus de recherche prend du temps et de l’argent mais c’est le prix à payer pour assurer que le patient sera bien soigné.

Pour le malade qui nourrit l’espoir de cheminer plus assurément vers la guérison, il aura une écoute attentive à la proposition de son médecin qui l’invite à participer à une étude pilote. Dans ce cas, cette étude vise à vérifier l’efficacité d’un nouveau traitement. Une fois encore, il ne faut jamais hésiter à en discuter avec le médecin qui offre cette possibilité.

En conclusion, oui, vraiment, tous les espoirs sont permis !

Pierre BEAUJEAN
Docteur en chimie
Membre de « L’Association Anne-Marie Nihoul »




Nos bénéficiaires ont besoin de votre soutien dans leur combat contre la maladie.

Notre association ne reçoit aucun subside. Les aides financières octroyées à nos bénéficiaires proviennent des dons de nos sympathisants.

Depuis sa création, la totalité des dons versés sur le compte de « L’Association Anne-Marie Nihoul » est consacrée à venir en aide aux malades ,en priorité, pour lui assurer l’accès aux meilleurs traitements du moment et la continuité de leurs soins.

La crise économique que nous traversons est certes difficile à gérer pour tout le monde. Elle l’est d’autant plus pour ceux et celles dont la maladie occasionne une chute vertigineuse des revenus et une augmentation fulgurante des dépenses de soins. Le déséquilibre budgétaire les plonge dans un séisme financier inextricable et les expose à une noyade si les secours n’arrivent pas à temps.

En 2022, plus de 60 % des aides octroyées par notre association leur ont permis de sortir la tête hors de l’eau pour régler de multiples problèles : payer des factures de chauffage et d’eau, régulariser le loyer en retard de paiement, effectuer la réparation et la mise en ordre de la voiture indispensable pour se rendre à l’hôpital. Nous en avons fait l’écho dans notre infolettre précédente, nous avons soutenu un projet à l’impact thérapeutique extraordinaire. Depuis Augustin a repris ses traitements.

Les 40 % des autres aides octroyées ont été dédiées à assurer la continuité des soins à travers le paiement des factures d’hôpital et l’achat de médicaments à la pharmacie. Certains traitements complémentaires comme ceux de la médecine fonctionnelle ou les compléments alimentaires ne bénéficient d’aucune intervention de la sécurité sociale malgré leur efficacité.

Nous remercions chaleureusement tous nos donateurs. Cependant, en 2022, à eux seuls, leurs dons n’ont pas suffi pour répondre à l’ensemble des demandes d’aide financière qui ont été adressées à notre association.

Voilà la raison pour laquelle il nous est indispensable d’accroître le nombre de nos généreux donateurs.

C’est pour cette raison que nous invitons nos sympathisants à encourager leur entourage à les rejoindre en apportant leur soutien aux côtés de ceux et celles qui compte vraiment sur leur générosité pour retrouver et entretenir l’espoir de surmonter leur épreuve de santé.







Le témoignage poignant d’Espérance de Liège

Espérance est une jeune maman qui élève seule ses deux petites filles, 10 ans et 4 ans. Aide soignante, elle travaillait dans un service d’urgence pédiatrique lorsque, en 2019, elle doit s’arrêter pour soigner un cancer des ovaires. Cette année, elle connaît une récidive et doit à nouveau se mettre en congés de maladie pour suivre une chimiothérapie aux effets secondaires dévastateurs. Pour mieux les assumer, il lui a été prescrit des compléments alimentaires très coûteux et non pris en charge par la sécurité sociale. Aussi, elle s’est trouvée en nécessité de vendre sa télévision et ses meubles dont le lit des enfants et le sien. Alors que cela ne suffisait pas, elle a revendu son ordinateur qui lui servait cependant à préparer sa reprise d’études d’infirmière.

A bout de forces et après ant de portes restées fermées à sa demande d’aide financière, Espérance a interrogé son smartphone en surfant sur internet. C’est là qu’elle rencontre « L’Association Anne-Marie Nihoul ».

Après avoir reçu l’aide financière devant lui assurer l’achat des compléments alimentaires et une aide en nature pour remplir à nouveau son frigo, elle a tenu à exprimer toute sa gratitude aux généreux donateurs et aux amis de « L’Association Anne-Marie Nihoul ». 




«  Je viens vers vous  ce matin vous témoigner toute ma gratitude pour votre sollicitude envers ma personne.
Abattue par la maladie,  rejetée et abandonnée par mon ex mari , je vis seule avec mes enfants mineurs. Je suis rongée par le cancer, cette maladie qui m’a appauvrie,  touchée psychologiquement , moralement, physiquement et financièrement. Je me sens bien seule entre quatre murs quand mes filles sont parties à l' école.
Ayant tout vendu chez moi pour payer mes soins,  dorénavant, vous pouvez le constater, nous dormons sur des matelas ; jusqu’à présent, ça ne nous dérange pas.
Bientôt sans domicile car notre renon expire le mois prochain. Il m’est difficile de trouver un logement tous sont trop souvent très chers et je suis à la mutuelle. J’ai introduit une demande de logement social et je suis inscrite sur une liste d' attente. Malgré les soins du kiné qui fait bien son travail, je reste en difficultés pour me mouvoir.
J'ai recherché de l’aide en fouillant sur Google et je suis tombée sur votre association.
Oui, vous avez répondu présent sans me connaître. Vous êtes venus vers moi sans hésiter.
Oui, j’ai cru à un miracle car j' ai toqué à plusieurs portes mais en vain. 
Mon revenu actuel à la mutuelle est très insuffisant pour vivre ma situation actuelle. 
J’ai eu peur quand je vous ai ouvert ma porte la première fois mais, par la suite, une fois installés ensemble autour de la table, je me souviens combien j’ai été touchée lors de nos échanges.
J’ai été touchée intérieurement et j'ai fondu en larmes car je n’en croyais pas mes yeux.
Je suis principalement touchée par votre soutien psychologique et moral dans l’approche de ma situation.  J’ai compris que je n’étais pas seule dans ma situation et que d’autres ont vécu cette maladie et la connaissent. Vous avez un don naturel d'accompagnement.  En cinq minutes, je me suis sentie valorisée,  utile et respectée.
Je vous salue pour ce soutien psychologique et moral que vous m' avez apporté : mon stress est parti ce jour là,  la confiance s' est installée et j ai ressenti le déclic avec la force de me battre et d' avoir espoir d’y parvenir. Sans famille, seules mes deux enfants m' encouragent bien que je ne veuille pas encore qu' elles sachent que j ai un cancer.
Vous m' avez donné espoir et je reste plus que optimiste et je vous le garantis, je m' en sortirai.
Vous êtes une lumière qui éclaire ma route. Quand je me regardais dans le miroir, sans cheveux, je me trouvais moche. Mais depuis notre rencontre, j’ai retrouvé le goût de poursuivre mon combat grâce à vous. Sofya tu a su toucher chez moi mon côté psychologique en déclenchant un déclic qui m’assure que tu es la personne dont j’ai besoin et que je cherchais sans la trouver jusque là.
Jean Marie, les mots me manquent pour qualifier ton dynamisme et ton approche bienveillante et tellement humaine.
Sans vous avoir vus, mes filles disent qu’elles seront contentes de vous rencontrer car je leur ai expliqué que deux magnifiques personnes viennent parler avec moi et me soutenir. Grâce à ces personnes, je pense que bientôt je sortirai tous les jours de la maison.
C’est vrai, je suis  financièrement à plat mais je vous garantis que ça ne me dérange pas trop . Ce qui est important c’est ma santé et vous m' apportez des ondes positives.
Je vous prie de ne pas me laisser tomber.  Merci de vous avoir rencontrés. Merci pour votre temps car la distance est très longue mais vous êtes disponibles pour donner le sourire, l'espoir et la lumière. 
Je suis chrétienne et que Dieu vous bénisse ».

Espérance depuis Liège 




Un nouvel exemple de projet à soutenir , tous ensemble, le cœur sur la main!

Nous avons été sollicités par Fatiha qui a du suspendre ses activités professionnelles de formatrice d’adulte pour soigner son cancer du sein. Depuis deux ans, elle se bat seule et sans aide pour assurer la continuité de ses soins. Est venu le moment où, épuisée et sans ressources suffisantes, elle n’y parvient plus et se décourage de poursuivre son combat.

Ignorant l’existence de notre association et, comme beaucoup de malades commencent par le faire, elle a revendu des meubles et son ordinateur cependant indispensable pour son travail.

N’arrivant plus à payer à la fois son loyer et ses factures de soins, elle en a fait part à une association d’aide aux mamans seules. Cette association lui a proposé de solliciter l’aide de « L’Association Anne-Marie Nihoul ».

Nous avons répondu à son appel. Nous avons en urgence chercher avec l’assistante sociale de sa mutuelle comment corriger des erreurs administratives dont l’impact portait sur des indemnités de mutuelle ne correspondant pas à celles auxquelles elle pouvait prétendre. Dans le même temps, nous lui avons octroyé une aide financière correspondant à un mois de loyer en retard de paiement. Elle stressait de rencontrer son propriétaire et vivait l’angoisse qu’il lui annonce son renon.

Enfin, le moral retrouvé, elle décide de reprendre des études et, pour s’y préparer, elle nous demande de l’aider à racheter un ordinateur dont elle a pour ce faire besoin. Un appel à l’aide a été publié sur Facebook de notre association. Un seul abonné a accepté de répondre à son appel.

Voici son témoignage :

« Je vous remercie pour votre aide. Vous m’avez permis de réaliser mon projet : reprendre des études pour me remettre sur le marché de l’emploi. Accepter le cancer est une épreuve, être accompagnée comme vous l’avez fait m’a aidée à ne pas couler financièrement car vous m’avez évité les problèmes de loyers impayés que j’avais. Et maintenant cette aide pour m’acheter du matériel informatique pour reprendre les études, je ne vous en remercierai jamais assez.
Je vous remercie du fond du coeur. Votre sœur, Anne-Marie, doit être fière de ce que vous faites en son nom »

Fatiha de Bruxelles. 


Notre prochain événement : marche ADEPS de Ramillies le 6 août 2023.

Les dons de nos sympathisants sont absolument nécessaires pour réaliser nos missions en faveur de nos bénéficiaires.

Cependant, vous l’aurez compris, ils ne sont pas à la hauteur des besoins auxquels nous sommes appelés de répondre.

Aussi, l’organisation d’événements nous permet la récolte de fonds en sorte d’assurer la pérennité de notre association.

Aujourd’hui, nous vous invitons à nous rejoindre à Ramillies où nous organisons un « Point vert - Adeps ».

Quatre parcours fléchés de 5 km, 10 km, 15 km et 20 km vous permettront de découvrir la région brabançonne et son patrimoine touristique célèbre pour avoir été le théâtre de la bataille de Ramillies de 1706.

Le « Point vert » se situe à la salle du Wayaux située à 100 m de l’église de Ramillie-Village (rue du Wayaux n°7).

Avec tous nos volontaires, nous vous y accueillerons chaleureusement soit pour entreprendre l’un des parcours pédestres proposés, soit venir à notre rencontre et pour passer un moment agréable à notre cafétéria éphémère. Nos volontaires vous y attendent pour y déguster leurs pâtisseries faites maison.

Ambiance chaleureuse et joyeuse garantie !

Plus d'informations à cette addresse: https://annemarienihoul.be/page/20-marche-adeps-points-verts-de-ramillies-2023.html





Un geste de solidarité qui réchauffe les cœurs sous le soleil de l’été !



Vous en êtes convaincus, vos dons nous sont indispensables à la réalisation de nos missions en faveur des malades et de leur famille.

En ce bel été que nous souhaitons à chacun plein de vitalité, votre grain de sable contribuera à façonner une plage dorée où pourront se reposer nos bénéficiaires qui en ont tant besoin.

Aujourd’hui, nous vous invitons à le déposer en versant votre don sur le compte de l’association dédié à la récolte des fonds indispensables à la poursuite de l’aide que nous leur apportons :

BE11 06821380 9548

Tout don de minimum 40 € se transforme en 22 € grâce à sa déduction fiscale de 45 % de ce montant ou de tout autre montant avant le 31 décembre 2023.

Jean-Marie NIHOUL
Président de « L’Association Anne-Marie Nihoul »

Partagez vos commentaires ou vos suggestions sur Facebook ou par mail à l’adresse suivante : association.annemarienihoul@gmail.com





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